Nouveau rapport RSE 2017
Le respect environnemental en est le corollaire pour ce qui est de la manière d’exercer le métier en respectant hommes et nature.
Créé en 1985, le Groupe a intégré dès sa naissance le concept du développement durable à sa politique d’entreprise, et a accompagné toutes les avancées depuis le Sommet de la Terre à Rio en 1992, aidé en cela par les évolutions réglementaires qui ont soutenu ces initiatives.
L’écoute des parties prenantes est un autre facteur majeur du développement du Groupe, en harmonie avec ses salariés, riverains, clients mais aussi le monde associatif, éducatif ou académique.
Du point de vue de certaines parties prenantes, les activités du Groupe peuvent être perçues comme sensibles. La politique d’intégration de la biodiversité au métier même permet de favoriser l’acceptation sociétale des sites. Elle permet d’améliorer le management terrain (maintenir un vivier d’espèces endémiques en concomitance avec la sauvegarde de l’identité paysagère) et d’en faire une véritable culture d’entreprise.
C’est à cela que s’applique Séché Environnement, fort de plus de 2 500 collaborateurs à travers le monde, recycler en matières premières tout ce qui peut l’être, ou à défaut valoriser la part d’énergie qu’ils contiennent. En 2017, le Groupe a été à 219 % autosuffisant en énergie, une production suffisante pour couvrir les besoins électriques (hors chauffage et eau chaude) d’un million de personnes.
Ces métiers liés à la valorisation des déchets sont en constante évolution et nécessitent innovation et investissement dans des technologies de plus en plus élaborées.
Surtout, il ne faut pas oublier qu’une fraction des déchets peut présenter une certaine dangerosité qu’il faut maîtriser, et c’est là un autre aspect des travaux du Groupe. Nous dépolluons et traitons les déchets parmi les plus dangereux, nous valorisons des métaux recherchés ou des molécules telles de que le brome.
« Construction imaginaire et rigoureuse d’une société, qui constitue par rapport à celui qui la réalise, un idéal ».
C’est la définition de l’utopie.
L’économie circulaire se rapproche d’une utopie dans le sens où il s’agit de reconstruire une organisation idéale de la Société (ou qui s’en rapproche), basée sur des comportements modifiés, une organisation à repenser … et ceci pour le bien commun de l’Humanité en lui préservant des ressources pour l’avenir.
Le déchet en est l’une des composantes, majeure après celle de la frugalité nécessaire pour notre consommation. Le déchet est mis en lumière, il est une partie de la solution, il permet de fermer la boucle.
Dans ce cadre, aujourd’hui plus que jamais, nous construisons notre métier de demain pour contribuer à bâtir une planète où il fait bon vivre pour tous. C’est la tâche dévolue à nos collaborateurs, en France comme à l’international.
Toute cette aventure ne serait pas possible sans toutes les femmes et les hommes qui y contribuent quotidiennement.
Qu’ils en soient ici publiquement remerciés.
Joël Séché
Président – Directeur général
Bonjour,
Nous nous efforçons de vous répondre dans les plus brefs délais.