8 mars, 8 femmes engagées avec un grand "E"
« Le meilleur achat est celui qu'on évite »
Eleanor Floyde-Sutcliffe, Responsable process et RSE achats
Laval, France
Pourquoi avez-vous choisi de travailler chez Séché Environnement ?
Je viens du textile, un secteur parfois critiqué sur l’écologie. Je voulais donner un sens à mon travail et la gestion des déchets, cela allait dans le bon sens. Autant mettre mes compétences au service de la planète !
Comment votre métier vous permet-il d’agir en faveur de l’environnement ?
35% des émissions carbone du Groupe sont liés aux achats. Pour les réduire, nous pouvons diminuer notre consommation. Par exemple, avant de passer une grosse commande de gants non jetables, je regarde si l’achat d’une machine pour les laver ne serait pas plus durable. J’accompagne aussi la transition de nos fournisseurs en privilégiant les produits éco-responsables.
Quelle place l’écologie tient-elle dans votre vie personnelle ?
Avec ma famille, nous privilégions la marche à la voiture, nous évitons les voyages en avion, nous réduisons les emballages… Là aussi, nous essayons de jouer la carte de la sobriété.
« Nous sommes aussi au service des communautés »
Nozipho Radebe, Directrice des ventes
Durban, Afrique du Sud
En quoi consiste votre métier ?
Mon entreprise est spécialisée dans l’intervention d’urgence lors de pollutions accidentelles. Mon rôle est d’offrir des services pour prévenir les incidents et d’accompagner nos clients au quotidien.
Y a-t-il des interventions qui vous ont particulièrement marquée ?
En 2021, notre région a connu de graves inondations. Nous sommes intervenus sur les sites de nos clients où des produits chimiques ou du pétrole s’étaient répandus. Nous avons aussi mis en place des barrages flottants dans le port de Durban et récupéré les déchets apportés par les eaux. C’était une tragédie mais nous avons pu nous rendre vraiment utiles.
Pourquoi avez-vous choisi de faire un métier lié à la protection de l’environnement ?
J’ai grandi dans une communauté rurale. La nature est ce qui nous fait vivre. Empêcher la pollution de l’eau c’est préserver, la faune, la flore et les gens qui en dépendent. C’est très important pour moi.
« Je veille à la qualité des eaux qui sortent du site industriel »
Océane Besozzi, Responsable d’agence de traitement des eaux industrielles
Vieux Thann, France
En quoi consiste votre travail ?
Je supervise une équipe de 15 collaborateurs qui exploite les installations de traitement des effluents d’un site industriel chimique. Chaque jour 3000 m3 d’eau peuvent ainsi rejoindre la rivière !
Il ne sort que de l’eau ?
20 % des boues résiduelles sont valorisés et servent à fabriquer du ciment. Le reste est traité et entreposé sur le site avec les conseils des écologues du Groupe. La prise en compte de la biodiversité environnante est en effet un enjeu majeur.
L’environnement, c’est une vocation ?
J’ai grandi au contact de la nature. Je voulais que mes études de chimie servent à mieux protéger cette richesse. Le traitement de l’eau me permet de conjuguer ces deux aspects. Aujourd’hui, je suis fière de me dire que j’apporte ma pierre à l’édifice !
« J’ai toujours voulu faire quelque chose d’utile pour la société »
Marisol Garrido, Directrice générale
Santiago, Chili
En quoi consiste votre métier ?
Je dirige les équipes de Séché au Chili. Nous proposons des solutions aux industriels et aux collectivités pour une meilleure gestion de leurs déchets. Notre action concerne principalement l’industrie minière qui représente 14% de l’économie du Chili.
Comment votre travail contribue-t-il à protéger l’environnement ?
Au Chili, la réglementation de la gestion des déchets, c’est assez nouveau. Je suis heureuse de prendre part à cette évolution. J’ai toujours voulu faire quelque chose d’utile pour la société, d’apporter des solutions concrètes…
Comment exprimez-vous votre engagement écologique au quotidien ?
Je suis vegan, par respect pour les animaux, mais aussi pour réduire mon impact environnemental. Mon engagement personnel et professionnel suscite souvent des questions autour de moi. J’essaie d’expliquer mon point de vue, de sensibiliser…
« Il faut avoir du tempérament et se faire confiance quand on a des convictions »
Mathilde Phan Garrigues, Ingénieure travaux
Montauban, France
En quoi consiste votre travail ?
Je pilote la partie « exécution » des chantiers de dépollution aussi bien sur le plan technique qu’opérationnel ou financier.
Dépolluer, « réparer » l’environnement, c’est ce qui vous motive ?
Oui, je suis fière de participer à la préservation de notre habitat, de notre santé et finalement de notre planète. Je suis aussi végétarienne depuis 5 ans. Je fais mes propres cosmétiques, j’achète des objets de seconde main… C’est aussi ça, l’économie circulaire !
Vous êtes une femme de conviction. Est-ce que c’est toujours bien accepté ?
Il faut savoir se faire une place mais mes collègues sont bienveillants. On vit ensemble et mes choix éthiques peuvent les faire réfléchir. C’est une écoute mutuelle, un esprit d’équipe.
« Il faut plus de liens sociaux pour changer le monde »
Silvia Bonilla, Responsable Développement Durable
Paris, France
Qu’est-ce qui vous a poussée vers le développement durable ?
Avant Séché, j’essayais de faire attention à l’environnement, comme tout le monde. Quand j’ai découvert la gestion des déchets, ça a été une révélation, je devais m’engager pour le développement durable et l’environnement.
Comment contribuez-vous à protéger l’environnement ?
J’accompagne nos filiales internationales dans des projets très concrets pour réduire leur empreinte carbone, pour mieux utiliser l’eau et l’énergie ou encore pour protéger la biodiversité locale. Je viens de Colombie et cela me tient à cœur de contribuer à un impact positif en Amérique latine et dans le monde entier.
Quelle est votre méthode pour sensibiliser les gens à ces sujets ?
Elle est basée sur l’échange et l’empathie. Au travail comme en dehors, je parle aux gens et je les écoute. C’est au travers de sentiments positifs que l’on peut protéger la nature.
« À la maison, je martyrise un peu ceux qui se trompent de poubelle ! »
Marine Lacomme, Chef de quart
Montauban, France
Pouvez-vous nous expliquer votre métier ?
Je conduis l’incinérateur de l’usine, depuis l’arrivée des déchets dans la fosse jusqu’au four. Je suis le processus en temps réel depuis un ordinateur pour optimiser la combustion.
En quoi cela permet-il de protéger l’environnement ?
Grâce à cela, nous produisons de la chaleur et de l’électricité qui alimentent Montauban. Je suis fière de me sentir utile à la population de la ville et de contribuer à réduire son impact énergétique !
Et votre impact à vous, comment le réduisez-vous ?
Je dirais comme tout le monde, je laisse la voiture au garage le plus possible, j’achète des vêtements de seconde main… À la maison, je martyrise un peu mon entourage qui se trompe de poubelle car après, c’est à moi de m’en occuper !
« Le parcours d’un déchet, c’est fascinant ! »
Paola Manieri, Manager Transferts transfrontaliers
Milan, Italie
Pouvez-vous nous expliquer en quoi consiste votre mission ?
Je supervise le transfert de déchets dangereux de toute l’Italie vers des plates-formes de traitement en Europe de l’Ouest. J’obtiens les autorisations nécessaires auprès des pays concernés.
Comment votre métier contribue à la protection de l’environnement ?
Depuis 12 ans déjà, je m’assure que les déchets ne finissent pas dans la nature et arrivent bien à destination pour y être traités correctement.
Qu’est-ce qui vous donne aujourd’hui l’envie de continuer à faire ce métier ?
Quand j’ai découvert le parcours d’un déchet une fois qu’on l’a jeté, ça m’a tout de suite fascinée. Et ça reste le cas aujourd’hui. J’adore mon travail, j’en parle toujours avec enthousiasme et c’est un sujet qui intéresse les gens.
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